Petit Peuple : La fin violente d’un proviseur

• Etre proviseur, en Chine, peut s’avérer à haut risque. Guo Qishan, Chef du lycée n°3 à Linzhou (Henan), n’est plus là pour le dire: l’élève Chang Guoqing l’a poignardé au début de l’été. Ses «raisons»:

1. le proviseur l’avait trop critiqué, pour triche aux examens et indiscipline,

2. le proviseur était (sic) son «obstacle à l’unification du monde», et surtout, ƒ Chang pensait que son âge, 17 ans, le mettait à l’abri de la peine de mort. Ce qui reste à vérifier!

• M. Li, patron de la Compagnie du Hebei de matériaux de construction, prenait ses commissions. m. Su, patron d’une firme de constr. immobilière et sa victime, le dénonça. Avec quelques gangsters, Li le fit enlever, torturer 5 jours durant, à Shijiazhuang, avant de l’assassiner. Arrêté, il put s’échapper, grâce à la complicité d’un copain, vice chef du bureau anti-corruption du Hebei, M. Gao. Finalement, Gao a été exclu du Parti, et inculpé  la morale est écornée, mais sauve!

 

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