Le Vent de la Chine Numéro 32
Finis les discours -place à l’action : promesse du 6ième Plenum du Comité Central qui s’achève (Pékin, 8-11/10), dédié à la société harmonieuse (和谐社会, hexie shehui).
Restent visés, comme hier, les abus, l’inégalité des chances, la mauvaise surproduction, la pollution et la corruption. Mais à l’approche du XVII. Congrès d’octobre 2007, Hu Jintao et Wen Jiabao prétendent imposer un gouvernail unique, même aux provinces, et réduire les privilèges des caciques locaux. En ce sens, ce Plénum est un tournant par rapport à Jiang Zemin qui cherchait plutôt avec eux l’accommodement.
C’est donc de réforme politique que Hu parle. Après s’être documenté sur les 5 continents (des 10aines de missions ont été envoyées partout, remake de la stratégie du Japon dans l’ère du Meiji au XIX.s), Hu vise la séparation du Parti et de l’économie, et l’avènement de la loi sur la place publique. On l’a dit, cette action, annoncée depuis des années, était en panne : les apparatchiks provinciaux frondaient, avec en tête Shanghai, s’abritant derrière Jiang Zemin. Sous cet angle, l’éviction de Chen Liangyu, secrétaire local du Parti, et avant lui celle d’une demi-douzaine d’autres hauts cadres, sous prétexte de corruption, prend une autre lumière : leur motif est politique, avant d’être financier !
Un plan sur 15 ans est lancé pour défaire les excès de la croissance et améliorer le sort des 750M de paysans et Chinois misérables -et ce, en usant des outils de la loi, des services publics (école, santé..), de la morale sociale, de l’environnement. Le but est une redistribution des fruits de la croissance, au détriment des cadres mais aussi du secteur privé, non punis mais freinés. Ce tournant veut éviter toute guerre interne: la chute ciblée de Chen Liangyu n’est qu’un coup de semonce. De même Zeng Qinghong, vice Président, ex homme de Jiang Zemin, va préparer pour Hu Jintao le XVII. Congrès! Enfin, on note le déclin (en influence et passe-droits) de Shanghai, fief de Jiang, au profit de Tianjin, ville de Wen Jiabao. Tianjin, qui lance sa zone de Binhai, laboratoire d’un futur marché libre des capitaux. Avec sa gouaille, l’homme de la rue cerne le vent nouveau :
“à Pékin, le soleil d’or, 北京阳光
“à Tianjin, le vent d’automne,天津秋风
“à Shanghai, neige en flocons!上海雪飘»
Adoubé depuis 2 semaines, Shinzo Abe dédia à Pékin sa 1ère visite de 1er ministre, manière de montrer la plus haute priorité politique de son mandat (la réconciliation avec la Chine) -et sa souplesse manoeuvrière.
Abe passe en effet pour un dur nationaliste. Ce qui ne l’empêche d’accorder à Hu Jintao, Wen Jiabao et Wu Bangguo, une visite avant celle à la Maison Blanche, et de rétablir un dialogue éteint depuis 2001.
La Chine a facilité la tâche en évitant d’exiger tout engagement sur Yasukuni, le sujet qui fâche. Sans doute par réalisme, admettant sa dépendance technologique et financière vis-à-vis du Soleil Levant.
Sur place, Abe a fait son mea culpa au titre des souffrances infligées par « l’agression coloniale japonaise ». Rien de nouveau, mais le geste a plu. Il a permis de faire le point avec ses hôtes sur la question nord-coréenne : d’envisager pour Pyongyang des carottes et des bâtons en commun.
Il a aussi permis d’arracher au silence, la masse des Chinois amis du Japon, qui émettent après la visite, de timides bravos sur internet—prouvant ainsi qu’ils existent.
Les industriels expriment leur soulagement, et sourient, aux 200MM$ de business bilatéral en 2006 (+12%), aux perspectives radieuses entre leurs pays 1er et 2d partenaires commerciaux respectifs. Telle la demande locale en coopération entre PME environnementales, dotée d’ici 2010, de 500MM$ en fonds publics.
Signe des temps : le 9/10, ils étaient 500 cadres politiques et patrons des deux rivages à se réunir pour le 11ème Symposium économique sino-japonais, à Changxing (Zhejiang).
Enfin, cet état de grâce reste tributaire du « flou constructif » introduit par Abe : la glace est brisée, mais non fondue. Qu’Abe cesse de visiter Yasukuni, et sa base cocardière aura besoin d’explications. Qu’il s’y rende, et toute l’Asie s’indigne. Le risque est réel, Abe ayant contesté, par le passé, que les 23 officiels fascistes gisant au sanctuaire soient des «criminels de guerre» en droit nippon -leur verdict ayant été rendu en 1948 par une cour internationale. Un homme à multiples facettes donc, et capable de bien d’autres surprises à l’avenir !
n Guangzhou Honda rappelle en Chine 29.916 Odyssey pour défaut d’essuie-glace arrière (risque d’incendie). Avec la croissance exponentielle du marché chinois, suivent ainsi les rappels : 13 cette année, dont 1441 autres Odyssey (pour défaut de contact), 20.000 Toyota Crown (pour joint fuyant), tandis que DPCA, (de PSA, à Wuhan) n’échappe pas au rappel de 20.000 Elysée et Fukang, pour défaut d’alternateur.
La plupart de ces rappels concernent une fraction mineure d’un problème mondial – les 1441 Odyssey entrent dans une série planétaire de 485.000 voitures.
Pas trop de casse chinoise, donc. Il n’en va pas de même pour Sony, qui doit rapatrier 8M de batteries, dont une partie faites en Chine, et dont 526.000 intégrées aux ordinateurs portables de Lenovo. Il lui en coûtera, au bas mot, un demi MM$! Certains rappels sont dus à l’AQSIQ, l’office de contrôle de qualité, sur base de la loi d’oct. 2004 : c’est le cas de la ligne de crèmes de visage SKII d’Unilever (cf VdlC n°31), made in Japan, retrait imposé par l’autorité, pour des motifs mal démontrés. Pour le reste, rien que de très normal : l’image d’une marque est dure à créer, mais facile à galvauder en cas de réaction désinvolte quand viennent les pépins!
n C’est une règle du jeu : qui pénètre le marché en dernier, paie plein pot.
Arrivant après les Japonais et Piaggio, c’est ce que doit faire Peugeot-Motocycles, pour sa JV avec Qingqi Jinan, géant de la moto chinoise (depuis 1985), aux 2600 employés et 1,2M de motos/an, dont 10% exportés vers 50 pays – 150M² de chiffre en 2005. Qingqi n’en est pas à sa 1ère JV, ayant déjà une usine avec Suzuki. La JV s’installera au Shandong, sur 23400m² avec 430 employés, pour produire 300.000 deux roues/an.
Les conditions (capital, technologie) sont secrètes. Tous les modèles en dessous de 50cm3 seront délocalisés, conservant en France le haut de gamme. L’accord comporte une clause de non-concurrence de Qingqi sur le marché français dans les vespas et motos à partir de 125 cm3.
Ainsi, G. Pressouyre, le PDG, croit pouvoir éviter tout plan social sur ses sites de Mandeure et Dannemarie (1100 jobs). Bien moins confiants, les syndicats voient 40 à 50% des emplois perdus sous 2 ans, et l’ensemble de l’activité délocalisée sous 4 ans.
C’est un nouveau record mondial que la bourse chinoise prétend établir le 27/10 : l’ICBC (Industrial & Commercial Bank of China ) vient de lancer la souscription à son entrée simultanée sur deux places :13MM de parts en RMB en bourse de Shanghai, et 35,39MM d’actions en HK$ à celle de Hong Kong.
Opération qui devrait lui permettre de lever 19MM$ ravissant le titre au japonais NTT DoCoMo (18.4 MM $, en 1998). Vu la tiédeur des investisseurs, ICBC a cependant dû rabaisser ses prétentions, de 2,7 fois la valeur comptable, à 2,3 fois. La baisse consentie, a permis au premier jour une honorable couverture de l’offre par les commandes, huit fois à Hong Kong (quatre fois pour les investisseurs institutionnels). Ce «cash» devant aider l’ICBC à accélérer son ravalement de façade avant l’ouverture formelle du pays à la finance étrangère au 31/12.
NB : Goldman Sachs, la mine d’or des firmes fiduciaires, tirera jusqu’à 2,9MM$ de l’opération, ayant acquis en avril, comme investisseur stratégique, pour 16MM de parts ICBC, dont la valeur va doubler !
NB2 : National Coal, le n°2 de la mine houillère, va lui aussi en bourse de HK, d’ici décembre, où il vise 1 à 1,5MM$, profitant de l’envolée des prix de l’énergie. L’opération est nécessaire, pour éviter les offres de mariage par les américains Peabody et Arch, et d’autres groupes européens. National Coal valait 4,6MM² en décembre dernier.
Parallèlement, Pékin force les firmes cotées à appliquer son ordre donné depuis 2 ans : émettre davantage de titres sur leurs actifs publics hier incessibles. Désormais, les 276 sociétés en retard (7 à 8% du total) verront adjoindre à leur titre la lettre « S » (pour «State», Etat).
Plus de 100 risquent la radiation : typiquement, celles en inspection fiscale ou redressement judiciaire, mais aussi d’autres fâchées avec les profits ces derniers temps, comme Xugong, China Eastern et China Southern—du beau linge !
Il faut dire que la mesure coûte : pour s’être mise en règle, Sinopec a vu ses parts chuter de 21% – pour compenser la dilution de valeur, les porteurs recevront 28% de parts supplémentaires. Après en avoir fini avec son propre grand nettoyage d’automne, Sinopec entame à présent celui de ses filiales…
n Selon le palmarès compilé par R. Hoogewerf, l’«homme» le plus riche de Chine en 2005 était Cheung Yan, femme d’entreprise de 49 ans, à la tête de Nine Dragons Paper.
Sa dot atteint 3.4MM$, ce qui la sacre «plus riche femme du monde, partie de rien» -elle est fille d’une famille de 8 enfants, du Heilongjiang, province sinistrée!
Cheung a débuté en 1985 avec 4000$ en poche, dans le recyclage des vieux papiers. Son trait de génie : s’être installée 10 ans après, à Los Angeles, pour en importer le papier usagé, puis partir en bourse de HK et créer le 1er empire chinois du carton d’emballage !
Signe de la volatilité formidable de la richesse locale, elle était 36ème sur la liste en 2005, avec 375M$ ! Elle détrône l’ex-n°1 Huang Guangyu, PDG de Gome (la chaîne d’électroménager). Au reste, les valeurs sures ne changent pas : 8 des 10 plus riches Chinois restent comme l’an passé dans l’immobilier.
L’émergence des businesswomen est la nouvelle de l’année: elles sont 35 dans le top 500 des fortunes chinoises, dont Chen Ningning (trader de métal, 800M$), Yang Lan (média, 500M$)…
NB: cette liste n’a de valeur qu’indicative – la «fortunologie» en Chine n’est pas une science exacte !
n Propriétaire du barrage des 3 Gorges (7GW de capacité), Yangtze Power verse 125M$ pour acheter 11% de l’électricien Guangzhou Development Industry. Investissement qui permet de voir plus clair dans la stratégie de Yangtze Power.
[1] Il a perdu cet été 1% en génération électrique, du fait de la sécheresse. Aussi veut-il diversifier, et acquiert 5GW de capacité en centrales à charbon, gaz et énergies renouvelables.
[2] Il cherche des synergies entre provinces productrices et acheteuses.
[3] Après 4 ans de vaches maigres, 2007 va renouer avec les excédents de capacités. Dans cette attente, comme tous les ténors du secteur, Yangtzé étend ses tentacules, ici à Canton, pour pouvoir reprendre les électriciens en faillite, avec la bénédiction de l’Etat en mal de concentration !
NB : la stratégie de synergie peut agir hors des frontières. Ainsi depuis Canton, Southern Grid le distributeur, ouvre une ligne à haute tension de 220KV pour fournir Hanoi.
Au Nord du fleuve Heilongjiang-Amour, la Russie construit, en JV avec le chinois State Grid, pour 10MM$ et 60 GW de centrales à charbon pour le Dongbei : tout en gardant la houille, et la pollution chez elle.
n La zone de libre échange entre ASEAN et Chine émerge: les 11 pays mettent les bouchées doubles. Proposée fin 2000 par Zhu Rongji, le 1er ministre de l’époque, cette Zone de libre échange exprimait alors la volonté de Pékin de rassurer des voisins inquiets de sa montée en puissance, et de leur ouvrir son marché tout en accédant à leurs matières 1ères.
A présent, il s’agit d’aller de l’avant dans ce démantèlement: en 2005, Pékin annonce une baisse moyenne tarifaire vers l’ASEAN de 9.9% à 8.1%. D’ici fin 2007, elle chutera à 6.6%, afin d’être prêt pour l’échéance de 2010, où selon l’entente de 2002, 93% des produits ASEAN seront libres de taxes. A charge de réciprocité bien sûr : l’an passé, la Thaïlande a réduit de 2,2% sa protection tarifaire. Dès à présent cet effort paie : en 2005, les échanges atteignaient 130MM$, et dépasseront les 150MM$ en 2006.
La zone s’ouvrira en 2 temps -en 2010, la Chine et les six ASEAN les plus avancés (Thaïlande, Indonésie, Malaisie, Philippines, Brunei, Singapour) ; en 2015, les quatre lanternes rouges, Vietnam, Cambodge, Laos et Birmanie. D’ici là, une voie ferrée, une autoroute relieront Pékin à Singapour, et 2MM d’âmes entre les deux.
Victoire serrée à Bruxelles (5/10) entre les 25 Etats membres de l’Union Européenne, pour des rétorsions anti dumping contre la chaussure de cuir chinoise et vietnamienne : 13 voix (l’Europe du Sud menée par l’Italie) contre 12. Elle est désormais taxée de 16,5% (Chine) et 10% (Vietnam), pour 2 ans.
La taxe précédente était de 7,5%, ce qui n’avait empêché les PME européennes de perdre 40.000 jobs. Pékin, qui exportait en 2005 plus d’1MM de paires de chaussures vers l’Union Européenne (2 paires par habitant) a critiqué ce protectionnisme, déplorant, par la voix de son Min. du commerce la perte prévisible de 70.000 emplois surtout en milieu rural, le moins favorisé.
La Chine se réserve le droit de contre-mesures, tout en ajoutant que la décision communautaire est loin d’assurer l’avenir du secteur, qui réside selon elle dans la «coopération», entendez, la délocalisation. C’est cet instant que choisit Peter Mandelson, le commissaire au commerce, notoire adversaire de ces droits anti-dumping, pour présenter un plan de «réforme» et d’abandon progressif…On en est encore loin mais on y va tout droit!
Incident le 30/9 dans l’Himalaya à la frontière du Népal.
Croisant 70 Tibétains sur la route de l’exil, des gardes chinois ouvrent le feu – 2 morts, dont une nonne. 20 fuyards (enfants) sont repris. Que s’est-il passé? Chaque année, 2000 à 4000 Tibétains passent à Daramsala, capitale du Dalai en Inde, sans incidents notoires.
L’accrochage intervient peu après l’ouverture de la ligne de chemin de fer Pékin-Lhassa avec extension prévue vers Katmandou, et la réouverture de la route vers l’Inde, par le col de Nathu La, en juillet. Comme si l’ouverture, d’un point de vue officiel, devait être précédée d’une reprise de contrôle des trafics clandestins.
L’annonce par Pyongyang d’un test nucléaire (9/10) a consterné l’Asie.
De faible puissance -0,5Kt, mais même avec cette charge, le missile Taepodong-II (10.000km, jusqu’à l’Alaska) a de quoi inspirer bien des insomnies !
Dès le 8/10, les choses étaient claires: Shinzo Abe, 1er ministre nippon était à Pékin pour préparer l’avenir. Depuis, le bal se poursuit. Le 9/10 à Séoul, Abe voyait le Président Roh MooHyun, le 11/10, Pékin, envoyait Tang Jiaxuan à Moscou et à Washington. Deux démarches parallèles s’ébranlent face à Pyongyang:
[1] à l’ONU, G. W. Bush tente d’obtenir la pression la plus forte, un blocus,
[2] dans la région, Tokyo, Séoul, Pékin recherchent une sanction pragmatique pour ramener Pyongyang au tapis vert et éviter le risque d’embrasement (nucléaire?) régional : rêve stratégique peu plausible, consistant à régler un problème asiatique entre Asiatiques, en laissant la Maison Blanche hors des débats…
On voit le dramatique tournant de la Chine face à Pyongyang : elle le condamne (enfin) sans réserve, tout en acceptant le principe de sanctions limitées.
Depuis 50 ans, Pékin protégeait le pays du matin calme pour éviter la chute du régime, et l’incursion de millions de réfugiés de la faim sur son sol. Mais sans son assistance technique et sa protection, le test nucléaire n’aurait jamais eu lieu. Or désormais, Tokyo et Séoul seront aussi tentés d’accéder à la bombe: c’est l’échec de la politique chinoise envers la Corée du Nord.
Aujourd’hui, Pékin milite pour relancer les négociations multipartites gelées depuis 13 mois, tout en bloquant des sanctions dures. Mais au fond, ce qu’il tente pour l’heure, est de limiter les dégâts!
A Chongqing (Sichuan), après 2 ans de concubinage sans nuages, Chen Zhen, 30 ans, Ai Yao (27) préparaient leur mariage.
Ils achetaient le F2 (sur plan), le mobilier (promo); réalisaient la (cruciale et compassée) rencontre des parents; arrangeaient l’hôtel, le banquet, la liste d’invités.
Le mariage légal était pour le 13/07, la fête pour le 15. Mais le 13, maldonne: Chen se tordait de douleur au ventre! 8 jours après, il fut appelé pour une mission -finalement annulée. La fois suivante, ce fut le fengshui qui n’allait pas (l’aspect propice du temps et du lieu). De diarrhées en voyages, il reporta 7fois! La 8ème était pour le 10/10. Le 7, au déjeuner, Ai Yao tremblante lui rappela… mais pour s’entendre dire: «le 10, juste après la Fête nationale – nenni– le patron me laissera pas partir »!
A cette flèche du Parthe, l’éternelle fiancée sentit « la fumée sortir de ses 7 orifices» (qi qiao sheng yan,七窍生烟) : au couperet de cuisine, elle lacéra le canapé – il s’entailla cruellement en tentant de la désarmer. Après un intermède à l’hôpital, la scène se poursuivit sur le canapé du psy. Il n’y avait chez Chen nulle trahison -il souffrait tout bonnement d’une incapacité de passage à l’acte. C’est un syndrome nouveau et très courant de la grande ville : la peur du mariage. Laquelle s’ajoute à celle d’enfanter, de changer de vie, ou de toute décision forte. Prix à payer sans doute, pour le choc entre libéralisme (son stress), et socialisme (son véto à l’affirmation de l’individu).
Ai Yao cependant, ne voit pas si loin, et met Chen face à ses responsabilités : «Ecoute, mon gars, maintenant tu m’épouses, ou je pars »!
15-30 octobre, 100ième Foire Canton
19-20, Pékin: séminaire franco-chinois de médecine d’urgence et de catastrophe
19-20, Nanning : Expo China-ASEAN